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Le marcottage : la théorie

Le marcottage
consiste à mettre dans le sol un rameau encore solidaire de la
plante-mère, de provoquer l'émission de racines adventives,
puis de pratiquer à la séparation du sarment en terre du
pied-mère. Cette méthode est plus facile à réussir
que le bouturage. Cette opération se fait ordinairement au printemps,
avec du bois d'un ou de deux ans ; cependant on peut aussi marcotter à
l'automne.
Le
marcottage s'applique en général aux arbres fruitiers suivants
: cognassier, vigne, groseillier, mûrier, noisetier et figuier...
Marcotte simple :
Une branche ou rameau solidaire à sa souche est couchée
dans un troue de 20 cm à 25 cm de profondeur que l'on
remplit de bonne terre, en maintenant, si c'est nécessaire, la
marcotte au moyen de crochets et de tuteur enfoncés dans le sol.
On éborgne tous les yeux qui se trouvent sur la partie de la branche
comprise entre la souche et le point où elle entre en terre. On
la laisse ainsi pendant l'été, en ayant soin d'arroser fréquemment
afin faciliter l'émission des racines.

Marcottage aérien :
La méthode de marcottage aérien, au lieu de coucher le rameau dans le sol, on place à la hauteur voulue un pot ou un sac plastique rempli de terreau.
